C’est ici que se rencontrent gens du cru et voyageurs aventureux. Dans une ambiance aussi chaleureuse que conviviale. Depuis 1843.






La Pinte
Depuis toujours, le restaurant de longue tradition «Pinte» reçoit des clients réguliers de la région ainsi que des voyageurs aventureux venus trinquer à la vie et se ravir les papilles avec une cuisine suisse de qualité. L’hôtel Pinte est le plus ancien hôtel de Grindelwald et appartient au nouveau Alpine Design Resort Bergwelt Grindelwald.





Le restaurant –
symbole de tradition
Depuis 1843, la Pinte propose de la cuisine suisse fraîche et de qualité. La pause de midi est l’occasion d’y déguster de délicieux menus accompagnés de boissons rafraîchissantes et suivis d’un bon café corsé. Durant l’après-midi, vous pouvez y savourer des desserts maison tout en observant la vie du village. Le soir, des nappes blanches invitent à se mettre à table pour un délicieux repas.
Horaires d'ouvertures:
Fermé le lundi
Mardi, 16h – 23h
Mercredi, 16h - 23h
Jeudi, 16h - 23h
Vendredi, 16h – 23h
Samedi, 16h – 23h
Fermé le dimanche
carte des vins





L’hôtel –
au cœur de Grindelwald
Aventuriers et pionniers, explorateurs et randonneurs, tous y ont passé des nuits exquises. Huit chambres doubles rénovées avec soin et équipées d’une salle de bain individuelle proposent le Wi-Fi gratuit ainsi qu’un copieux buffet petit-déjeuner servi dans le complexe Bergwelt Grindelwald. Il est également possible de réserver un accès exclusif au SPA Fire & Ice.


Le bar –
Ye Olde Spotted Cat
Le fameux chat en pierre devant la porte d’entrée est aussi indissociable de la Pinte que Grindel peut l’être de Wald. Certains disent que la chance sourit à ceux qui le touchent. C’est ici que le village se réunit après une journée riche en événements, regarde le soleil tirer sa révérence ou salue la lune. De belles histoires s’y écrivent, des amitiés y sont nouées et entretenues.




L’histoire –
une légende de Grindelwald
La Pinte tient son nom de son premier tenancier, Fritz Bohren. «Pintefritz» fit ses premières armes en tant qu’aubergiste en 1888. Le regard espiègle, le cigare au coin de la bouche et une casquette gavroche vissée sur la tête, il savait accueillir ses clients comme nul autre. Les voyageurs détrempés avaient toujours droit à du grog, à des habits secs et aux propos marrants du patron.